La France a connu les mois d'avril et de mai 2011 les plus secs depuis un siècle et les agriculteurs et les pouvoirs publics sont, à juste titre, fort inquiets des risques d'assèchement des nappes phréatiques et des graves conséquences que cela pourrait avoir sur les cultures alimentaires et fourragères, nécessaire à l'élevage.
Certains éleveurs envisagent d'ailleurs déjà d'abattre une partie de leur cheptel, faute de pouvoir le nourrir. Cette situation a tout lieu d'être inquiétante est peut être résumée en un seul chiffre : 75%
75% c'est le déficit enregistré par la pluviométrie sur les moyenne saisonnières de référence.
Et la plupart des départements français sont en train d'adopter des plans sècheresse afin de limiter les consommations d'eau avec des restrictions d'arrosage pour les cultures, les jardins et le remplissage des piscines.
N'importe quel observateur peut sans aucun problème constater que depuis quelques années, il semblerait que les saisons soient en avance d'un à deux mois, ce qui pourrait être lié à un changement d'orbite de la terre.
De deux choses l'une, soit il ne s'agit que d'un simple décalage et nous aurons droit à un été pluvieux, soit la tendance perdure et nous nous dirigeons vers un nouvel épisode de canicule qui pourrait s'avérer désastreux aussi bien pour la nature et l'environnement, que pour les animaux et l'homme.
Ce scénario fait lui aussi penser à certaines prédictions catastrophistes où des vagues de sècheresse font partie des signes annonciateurs de l'apocalypse et qui accréditeraient l'hypothèse d'une fin du monde pour le 21 décembre 2012.
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