De nombreux films ont utilisé ce pitch comme base de leur scénario : Une gigantesque comète entre en collision avec notre planète provoquant l'extinction de toute forme de vie sur la terre suite à l'onde choc. La planète quitte sont orbite et va brûler puis imploser dans l'orbite du soleil.
Cette thèse pour expliquer la fin du monde est probable car crédible physiquement et que la probabilité qu'un des milliards d'astres circulant dans l'univers arrive en collision avec notre planète existe. On sait d'ailleurs qu'en fonction de la taille de l'objet, les dégâts pourraient être plus ou moins important.
Des scientifiques ont d'ailleurs avancé la thèse que cela s'était déjà produit sur notre planète et que cela expliquerait certains reliefs accidentés qui ne sont pas consécutifs aux mouvements de plaques.
Cette thèse est d'autant plus crédible que chaque année des milliers d'objets de petites tailles pénètrent dans notre atmosphère où ils sont pour la plupart détruits. Mais certains finissent quand même par toucher le sol, alors pourquoi cela n'arriverait-il pas avec une comète ou une météorite de grande taille.
Heureusement, des milliers d'astronomes étudient les mouvements des astres et la course des météorites, qui même si elles se déplacent à des vitesses ahurissantes, peuvent néanmoins être détectées plusieurs centaines d'années à l'avance.
En ce moment, les scientifiques ont d'ailleurs découvert qu'une comète nommée Armageddon était en train de bouleverser un système solaire pas si éloigné du nôtre. Si elle avait traversé notre système solaire, ils sont d'ailleurs unanimes pour dire que nous serions dans de beaux draps.
Une chose est à 99,9% sûre cependant. Si la fin du monde doit se produire le 21 décembre 2012, elle ne résultera pas de la collision d'une comète ou d'une grosse météorite avec notre planète, sinon celle-ci serait déjà dans nos scopes, à l'instar de quelques astres potentiellement dangereux mais qui ne devraient frôler notre planète que dans plusieurs centaines d'années.
